Kinshasa est sale. Bon là, tout le monde le connaissait. Alors Pourquoi les autorités compétentes n’arrivent pas à éradiquer l’insalubrité à Kinshasa ? La responsabilité reviens aussi au kinois ?
Le gouverneur a octroyé 20 000 dollars de frais de fonctionnement pour chaque commune. Nous faisons les analyses d’actualité marquante sur la RDC. Nous publions des vidéos tous jours à 19h sur l’actualité de la journée. Alors abonne-toi pour ne rien rater me donner de la force.
Pourquoi Kinshasa reste-t-elle une ville aussi sale ?
Des inondations, des caniveaux bouché, des déchets partout, des bruits par ci par là. C’est là le quotidien qu’en dure les kinois. Alors pourquoi la capitale reste inchangé jusqu’à maintenant ?
En avril dernier, Daniel bumba est élu gouvernement de la ville de Kinshasa avec 37 voix sur 48. Il prends le pouvoir après quelques mois. Dans ses projets, on a notamment le problème d’insalubrité, d’embouteillage, de route et tant d’autres objectifs à atteindre.
Le problème qu’a la capitale n’est pas seulement le problème d’un gouverneur mais de tout kinois en général. La capitale congolaise se figure parmi les capitales les plus sales au monde, et les autorités peines à faire avancer les choses.
Les autorités compétentes sont-elles vraiment impliquées dans la gestion de l’insalubrité ?
Récemment, le gouvernorat aurais octroyé 20 000 dollars de frais de fonctionnement pour chaque commune. Est-ce suffisant ?
Dans cette réunion, Daniel bumba a notamment fustigé le manque de suivi des ces bourgoumestre contre l’insalubrité, la pollution sonore, les marchés pirates et des occupants anarchique.
Nos bourgoumestre s’intéresse généralement des problème qui peuvent leur apporter de l’argent. Ils sont là seulement à bénir les mariages et venir récolter de l’argent dans les marchés publics mais travailler dans la vision du gouverneur n’est pas vraiment prioritaire.
Prenons, l’exemple du bourgoumestre de la commune de kinseso qui exigeait selon plusieurs informations « un permis de séjour » pour sa commune. Dans tout, on voit qu’il y a encore l’amteurise dans l’affaire de gestion. Heureusement, qu’il est expliqué et donné sa version.
Daniel bumba avait lancé le programme « Kin ezobonga » qui implique les balayages des rues fréquenment, l’entretien des caniveaux, et nettoyage. C’est pour cela qu’il a réuni tout les bourgoumestre pour leur faire savoir la marche à suivre car il ne peut pas tout faire lui même.
Quels sont les obstacles majeurs malgré ce programme ?
On ne peut pas rendre la ville propre d’un seul claquement de doigts. Impossible. La grande obstacles pour rendre la ville belle est d’abord l’application des mesures prioritaires.
En Kinshasa, la population environne le 17 millions d’habitants. Chacun émet tout le jour un déchet, un jus acheter, un pain acheter, un biscuit acheter. Quand on mélange Tout cela constitue une grande masse de décharge à jeter.
Si les autorités ne sont pas compétant, la ville sera toujours sale car on a déjà la surpopulation. Et tout on est concentré sur une même place.
Que doit faire le gouvernorat pour résoudre ce problème ?
Le gouvernorat doit avoir un plan d’abord, je ne sais pas leur feuille de route. Mais le gouverneur doit viser 5 point pour arriver à ses objectifs, notamment :
– opter pour le recyclage : l’hôtel de ville doit exiger à certaines compagnies de réguler leur manière de produire de déchet : majoritaire les bouteilles et les sachets plastiques.
Il y a moyen de recycler tout ce déchet, et cela pourra diminuer. Il faut une exigence de la part de l’état pour que toutes ses compagnie aient une branche réserver aux recyclage.
– éduquer la population : la sensibilisation sur l’insalubrité surtout dans des écrans est aussi primordial. Préparer la mentalité de kinois pour qu’ils sachent la ville leur appartient, quand ils le rendent le rends sale, les conséquences leurs reviennent généralement avec des maladies comme le paludisme ou la tiphoïde.
– appliquer la loi : il existe de loi qui régit le problème d’insalubrité. Il faut les appliquer. Par exemple, quand on voit ce temps ci l’arrestation des plusieurs kuluna, vous allez voir qu’il aura une diminution de criminalité.
Prenons l’exemple en arrière quand Corona virus était encore là. On exigeait à tout le monde de porter le masque, on avait remarqué que plusieurs kinois avait respecter cette mesure non seulement pour la santé mais aussi pour n’est pas être arrêté.
Donnons le travail à nos policiers, créons d’unité d’inspection des rues, des usines et parcelle aussi si possibles. Et avec cela, on pourra mieux savoir comment gérer le déchet.
Il faut interdire aux gens de jeter de déchet n’importe où, par exemple prêt des rivières ou caniveaux. Il faut que la police arrête les gens qui font ce genre des actes.
– assainir la ville : même si on applique tout les trois points précédent, mais sans assassinement ma ville deviendra toujours sale.
Alors c’est au gouvernorat avec ses partenaires de créer les entreprises capable de récolter des déchet et le jeter dans des endroits approprié : par exemple dans les érosions.
– entretien : le problème majeur qu’on nos autorités, il n’entretiennent pas et ou pas longtemps nos acquis. Récemment on a organisé le jeux de francophonie, on a vu comment l’argent est sorti pour acheter des matériels nécessaires. Mais demandons-nous que sont-ils devenus ? Nos autorités doivent nécessairement entretenir le peu qu’on a déjà réalisé à fin d’ajouter encore plus.
À part tout cela, les autorités kinoise doivent s’inspirer notamment du projet » Goma ville propre » lancée en 2011. Qui a porté ce fruit actuellement.
Le gouverneur Daniel bumba doit collaborer avec des partenaires publics ou privés, les ONG pour travailler main dans la main et résoudre ce problème.
Quelles sont les conséquences de l’insalubrité dans une ville ?
Près de 1500 personne sont décédé du paludisme durant l’année à Kinshasa causé par le paludisme. Vous comprenez que l’insalubrité peut causer des maladies mortelles. À part les maladies, L’insalubrité peut causer plusieurs dégât comme pollution de la ville notamment l’air, Pollution des sols et des eaux, Infrastructures surchargées, etc.
Conclusion
Nous sommes là pour accompagner et donner notre avis si c’est nécessaire. La ville de Kinshasa est grande, l’amélioration ne se fera pas en une seconde. Surtout qu’on était habitué avec des autorités qui ne s’occupait pas vraiment de travailler.